mardi 3 décembre 2013


Venez nombreux pour le pot de l'amitié et découvrir les petites merveilles de Noël.

samedi 30 novembre 2013

nénuphar

boucles
Tel des feuilles de nénuphar sur l'eau, ces bijoux sont suspendu d'un fil invisible aux oreilles de leur porteuse et font preuve d'une légèreté infinie.
Dans d'autres contextes, le nénuphar peut incarner au contraire la description poétique de la menace. Dans le film français "L'écume des jours" de Michel Gondry (2013), basé sur le roman du même nom de Boris Vian, il joue un rôle central. Colin et Cloe apprennent à se connaitre et à s'aimer dans un Paris fantastique pleins d'invention et d'absurdités. Leur bonheur fait rapidement place au drame, quand un nénuphar commence à grandir dans la poitrine de Cloé. Face à la maladie, Colin tente de gagner de l'argent par tous les moyens, tandis que Cloé lutte dans une maison rétrécissante contre la solitude et la maladie.

lundi 18 novembre 2013


Pour le plaisir des yeux. Cette femme peintre fantastique et douée qui peint si bien cette
beauté des fleurs. Délicatesse, observation et rêveries ...

vendredi 15 novembre 2013

Renouveau contemporain d'une tradition ancienne

L'émail cloisonné, qui se distingue des autres formes de travail sur émail par une technique plus complexe, était très répandu au Moyen Age.
Malgré que beaucoup d'objets aient été détruits ou perdus au fil des ans, les exemplaires de cet art existant à ce jour témoignent d'une extraordinaire richesse.
D'entre les quelques foyers d'émail cloisonné restant au monde, la Géorgie est la seule qui peut se mesurer à la Byzance, ce qui a été en partie déterminé par les conditions géopolitiques et économiques en Géorgie.
La meilleure preuve de ceci, c'est les près de 200 chefs d'oeuvre d'émail cloisonné gardés au Musée d'Art Géorgien. Aucun autre musée dans le monde ne possède une collection aussi riche, qui comprend aussi bien des chefs d'oeuvre géorgiens que byzantins.
Les premières œuvres d'émail cloisonné restant à ce jour au musée sont datées du VIII siècle. Cet art atteindra le sommet de son ascension dans les XI-XII siècles. C'est dans cette période qu'est réalisé le célèbre « triptyque de Khakhuli». Les historiens d'art le nomment le petit musée, car le triptyque de Khakhuli réunit en lui-même des exemples d'émail cloisonné de différentes époques (VIII-XII siècles) et par là nous donne le moyen de retracer l'histoire de l'évolution du travail sur émail en Géorgie. Quant au visage et aux mains de la Vierge Marie représentés sur « l'Icône de Khakhuli », ils sont les exemples d'émail cloisonné les plus grands et les plus finement réalisés au monde... Le « Portail de Khakhuli », qui est un musée d'émail cloisonné en soi, peut se mesurer au Pala d'Oro vénitien.
Le XV siècle verra malheureusement une disparition de l'émail cloisonné géorgien - le dernier chef d'oeuvre en émail date de ce siècle. La technique unique de réalisation d'émail cloisonné a été oubliée au fil du temps et les savants considéraient jusqu'à ce jour qu'elle a ensuite disparu pour de bon.
Le travail sur émail était inexistant pendant des siècles. Un renouveau de ces traditions est observé dans les années 60 du XX siècle. Au cours des années 90 commence une évolution importante de l'art du travail sur émail.
Pour réaliser de l'émail cloisonné, on applique de l'émail sur une plaque de cuivre, d'argent ou d'or. L'émail, à la base, est vendu en forme de poudre. Il cuit à 800-900 degrés Celsius. La poudre fond et se transforme en une peinture de couleur uniforme, ressemblant à du verre. Le processus de cuisson est répété de 8 à 16 fois, dépendant de la qualité de l'œuvre. Chaque couche d'émail doit être bien séchée et cuite. Plus on met de couches et plus elles sont fines, plus l'œuvre sera polie et de qualité. Ensuite les couleurs sont travaillées sur une machine spéciale et l'œuvre est envoyée chez le joaillier pour être mise dans une monture appropriée.

vendredi 8 novembre 2013

A l'aventure !

sculptures

Anne Bernot de Zémo*

"La vie est une aventure audacieuse ou elle n'est rien. "

(Helen Keller, femme de lettres américaine 1880-1968)

mardi 5 novembre 2013

Zémo* Événement




Zémo*Bijouxdartistes expose avant Noël dans différents lieux.
Venez nombreux boire le verre de l'amitié.

Exposition le 7 décembre 2013

"L'art et la manière"
18 rue du Commandant Jean Duhail
94120 Fontenay-sous-Bois

15h à 18h

Parking gratuit RER Fontenay-sous-Bois, 5 minutes à pied



vendredi 1 novembre 2013

dimanche 27 octobre 2013

Cassandre

sculpture

Déa Villarreal de Zémo*
Contact: deavillarreal@yahoo.fr

Cassandre, fille du roi de Troie Priam  et d’Hécube, reçu d’Apollon, qui était amoureux d’elle, le don de la prophétie.
Quand sa passion pour Cassandre diminua, car elle se refusait à lui, il ne pouvait plus lui enlever son don mais il déclara que ses prédictions ne seront pas écoutées.
Lorsque son frère Paris se rend à Sparte, Cassandre lui prédit qu’il enlèvera Hélène, provoquant ainsi la guerre de Troie.  A cause de sa prophétie Cassandre est enfermé dans une tour, ou elle pleure le sort de sa patrie. Elle essaye d’empêcher l’entrée du cheval de bois dans la ville, mais encore une fois, on ne tient pas compte de ses avertissements.
Dans les désordres de la guerre, le roi Agamemnon tombe sous ses charmes et l’emmène en Grèce. Durant le voyage ils ont deux enfants ensemble, Télédamos et Pelops.
Rentrée en Grèce, Agamenon est assassiné par l’amant de sa femme Clytemnestre, qui est jalouse de la relation avec Cassandre. Celle-ci se fait ensuite poursuivre par Clytemnestre et se fait tuer à son tour.
Une fin tragique, car même en ayant prévu sa propre mort et celle de son amant, Cassandre n’arrive pas à échapper à son destin…
L’histoire de Cassandre a été reprise de maintes fois dans la littérature, la musique et le cinéma.
Une des interprétations les plus intéressantes et celle de l’écrivaine est-allemande Christa Wolf, qui publiait avec sa nouvelle « Kassandra » en 1983 une réflexion sur les marginaux dans la RDA totalitaire et le rôle de la femme dans une société allemande (de l’ouest et de l’est) très patriarcale. 


mardi 22 octobre 2013

Yin et Yang

Coupe 20cm

Déa Villarréal de Zémo*
Contact: deavillarreal@yahoo.fr

Yin et Yang sont deux termes de la philosophie chinoise. 
Le Yang blanc symbolise la clarté, la dureté, la chaleur, l'activité et la masculinité,
le Yin noir symbolise l'obscurité, la douceur, le froid, le calme et la féminité.
Le signe connu aujourd'hui pour représenter l'union date de la dynastie Ming et représente un nuage qui s'accumule et un soleil levant. 

mardi 15 octobre 2013

Zémo* Curiosités

TOUT DOIT DISPARAÎTRE – Des œuvres de Banksy vendues pour 44 euros



Les œuvres du plus célèbre des artistes de rue, Banksy, s'arrachent en général pour plusieurs centaines de milliers de dollars dans les ventes aux enchères. Mais le facétieux artiste britannique, actuellement en résidence dans les rues de New York, a décidé samedi 12 octobre de brader ses créations sur le trottoir de Central Park, comme le rapporte Buzzfeed. 

"Hier, j'ai installé un stand dans le parc, pour vendre des œuvres authentiques de Banksy, à 60 dollars l'unité" (44 euros), pouvait-on lire dimanche sur le site internet de l'artiste. Des propos accompagnés d'une courte vidéo, montrant un stand de petites toiles reproduisant les œuvres les plus célèbres de l'artiste, tenu par un vieil homme enfoncé dans une chaise de camping, dévorant à l'occasion un sandwich.
Des peintures si familières que la plupart des passants ignorent l'étal du vieil homme, persuadés d'y voir des énièmes copies du célèbre graffeur. Il s'agissait cependant bien de toiles originales, évaluées à environ 160 000 euros l'unité.

Ce nouveau pied-de-nez de Banksy intervient dans le cadre de son exposition "Better Out Than In" ("mieux vaut dehors que dedans"). Une nouvelle manière de rappeler que son œuvre appartient à la rue et pas aux galeries d'art. "Merci de bien noter qu'il s'agissait d'une opération unique, l'étal ne sera plus ici aujourd'hui", conclut le site de l'artiste.

Article original avec la vidéo:


Intéressant ! Vous ne trouvez pas ?

jeudi 10 octobre 2013

Art Nouveau

Bague

Cette bague inspireé par les lignes courbées et les motifs floraux de l'art nouveau,
 attire tous les regards sur la main qui la porte.

mardi 8 octobre 2013

Zémo* vous emballe !!!


Boîtes cadeaux Zémo*

Les petites boîtes Zémo* sont des origamis faites à la main
 qui servent à la fois d'emballage cadeau et de boîte à bijoux. 

lundi 7 octobre 2013

chat

Collier

Hommage aux chats
Nos doux compagnons
aux yeux de pierres précieuses
Fidèle et sauvage à la fois 


Ils nous aiment et se font aimer
Sans jamais se plier aux désirs de l’autre
Ils partent en exploration chaque nuit
A la recherche de nouvelles aventures…


Suivons leur exemple…

samedi 28 septembre 2013

Pas de deux

sculpture 
Anne Bernot de Zémo*

Pas de deux
Flottement sur la musique
Langage, qui parle à l'âme

Pas de deux
Le monde s'éfface
Un moment, long comme une petite éternité


mardi 24 septembre 2013

Une famille

mobile
  Quatre vies en mouvement
chacun pour soi
tous ensemble

Une maison commune
un lieu de rencontre
un lieu de refuge

Soleil et Lune
Jour et Nuit 
Ensemble
A tout moment
Pour toujours

Une famille...

jeudi 19 septembre 2013

Vénus

pendentif


La déesse Vénus, connue chez les grecs sous le nom d’Aphrodite, est la déesse de l’amour. Les poètes grecs ont différentes explications pour son origine. Seul l’idée que la déesse est née de l’écume et incarne à la fois une divinité céleste et maritime leur est en commun. 

Entre les aventures amoureuses multiples qu’on attribue à Venus, celle avec le jeune Adonis est la plus remarquable. Sa mère Myrra fut punit par les dieux qui la transformaient en arbre, qui donnait  naissance au jeune Adonis. Vénus eut le coup de foudre pour Adonis, qui avait été élevé par des nymphes. Son amour provoquant la jalousie du dieu Mars, celui-ci attaquait Adonis sous forme d’un sanglier et le blessait mortellement. Même les larmes de Vénus ne pouvaient plus sauver son amant, qu’elle transforma en Anémone – fleur éphémère du printemps.

Après sa mort, Adonis descendit en enfer, où il fut aimé par Prospérine. Vénus, jalouse s’en plaignait auprès du Dieu Jupiter, qui ordonnait qu’Adonis resterait quatre mois de l’année avec Vénus sur terre et le reste de l’année avec Prospérine en enfer. Cet amour temporel entre Vénus et Adonis symbolise le va et viens de la nature au cours des saisons.

En général Vénus fut représenté par les sculpteurs en tant que jeune femme rieuse – nue ou demi-nue – émergeant de la mer en compagnie d’animaux maritimes : Les représentations les plus belles et les plus connues sont la « Vénus de Médicis » et la « Vénus de Milo », découvert en 1820 dans la ville du même nom. Les peintures les plus célèbres qui montrent la Vénus sont « La naissance de Vénus » de Sandro Botticelli (1485), « La Vénus » de Cranach l’Ancien, et la « Vénus d’Urbino » de Tizian (1538). 

Enfin dans l’atelier Zémo* la déesse trouve son interprétation moderne, qui maintient en vie les légendes autour de ses aventures amoureuses….

lundi 16 septembre 2013

Nefertiti

Collier

Nefertiti, mieux connue sous le nom de „Nofretete“, était la femme du pharaon Echnaton au 14ième siècle avant Jésus Christ.
Elle fut la première épouse royale, qui jouait un rôle en tant que corégente. La question, si elle a survécu à son époux pour prendre sa suite comme régente du royaume, reste mythique.
A côté de son rôle politique, Nefertiti est surtout connue pour sa grande beauté, que la postérité peut admirer sous forme d’un buste, exposé au Nouveau Musée de Berlin. Son nom qui signifie « Beau sont les beautés d’Aton, la belle est venue » confirme que sa beauté est plus proche de la réalité que du mythe.

Une chose est sûre : La femme qui porte un collier Nefertiti, devient aussi belle et mystérieuse que la reine égyptienne…

samedi 14 septembre 2013

Les trois grâces

sculpture
Anne Bernot de Zémo*

Les grâces puisent leur origine dans la mythologie grecque, où elles étaient nommées « Charités ». Elles incarnaient la vie et notamment la séduction, la beauté, la nature, la créativité humaine et la fécondité.
Selon le poète Hésiode, qui  limitait leur nombre à trois jeunes femmes, elles sont les filles de Zeus et d’Eunomie : Euphorysne incarne la joie absolue, Thalia symbolise la plénitude et l’abondance, Aglae est la beauté absolue, la brillance. Souvent les trois femmes sont représentées en tant qu’accompagnatrices de la déesse de la beauté Venus, qui leur doit son attirance. Seulement la culture romaine, qui adoptait l’image des trois divinités, leur donna le nom de « Grâces ».
Le trio des grâces qui se touchent et dansent ensemble est un sujet récurrent en peinture et sculpture. Les réalisations les plus connues sont entre autre celles de Sandro Botticelli dans « Le Printemps » (1482), « Les trois grâces » de Raphael (1505), de Lucas Cranach l’Ancien (1531) ou encore de Rubens (1639). Une réalisation plus récente et moins connue est celle de Salvador Dali « Plage enchantée avec trois grâces fluides » en 1938.
Visiblement les trois grâces inspirent les créateurs jusqu’à nos jours, car elles ont aussi laissé leur trace dans l’atelier Zémo*…

vendredi 13 septembre 2013

Le couple

Anne Bernot de Zémo*
En avant, en avant !
La vie nous attend.
Tu vois l’avenir que je te dépeins ?
N’aie pas peur.
Nous sommes à deux.
Doublement fort.
A l’aventure !

Suis moi… 

mercredi 11 septembre 2013

L'automne

collier

Une brise fraîche le matin et le soir est son messager:
Les journées moins longues laissent la place à des longues soirées et nuits dans la compagnie  de nos proches. La nature commence sa transformation, bientôt elle va nous faire ses adieux avec des couleurs chaudes pour tomber dans son hibernation bien méritée.
Une nouvelle, belle saison nous attend, un temps de concentration sur nous-mêmes, une bonne tasse de thé, un livre passionnant…l’automne dans toute sa splendeur.        

jeudi 5 septembre 2013

Sirène



sculpture, 1m



Les sirènes étaient représentées, chez les Grecs, avec « un corps d’oiseau et une tête de femme, et jamais avec un corps de poisson comme dans les mythes nordiques »Cependant, il faut noter qu’Homère ne fait aucune allusion à des femmes-oiseaux. Le texte semble même suggérer qu’il pense à des femmes normales se tenant au bord de la mer. La nature hybride de la sirène, mi-femme, mi-oiseau, est expliquée par la mythologie comme une punition qui les relie au monde infernal. Sur les monuments funéraires, elles figuraient des divinités léthifères chantant au son de la lyre et laissant supposer des intentions érotiques à l’égard du héros décédé. Les bestiaires médiévaux les décrivent comme des femmes « de la tête aux cuisses » et poissons de « là jusqu’en bas avec des griffes et des ailes » dans un syncrétisme qui noue les traditions fabuleuses des mythologies grecque et germanique. Elles ont laissé à la postérité leur image gravée dans la pierre des stèles, tombeaux ou des églises romanes où elles personnifient l’âme des morts comme dans l’Égypte ancienne, on les invoquait au moment de la mort;
Il reste quelques vases grecs qui racontent les aventures d’Ulysse : sur ceux qui sont antérieurs au iiie siècle av. J.-C., les sirènes apparaissent comme des oiseaux à tête de femme. Par la suite, elles acquièrent des bras, puis une poitrine humaine, attributs peut-être seulement esthétiques, même s’ils constituent des éléments supplémentaires de séduction, puisque les sirènes sont désormais représentées jouant d’un instrument, flûte ou cithare. Ainsi, elles s’humanisent au cours de l’Antiquité pour devenir des femmes ailées chez les Romains et les Étrusques, comme en témoigne la magnifique mosaïque représentant le bateau d’Ulysse, trouvée à Dougga.
Au viiie siècle, le moine anglais Adhelm de Sherbone les décrit comme des vierges à queue de poisson couverte d’écailles. Ces deux représentations vont cohabiter jusqu’au xve siècle où les sirènes volantes laissent définitivement la place à une jolie femme aux longs cheveux et à queue de poisson. À cette époque, le naturaliste allemand Johannes de Cuba les fait vivre dans des gouffres au fond des mers. « On les trouve souvent dans les mers et parfois dans les rivières », dit de son côté l’écrivain flamand Jabob Van Maerlant. En revanche, dans la mythologie grecque, ces démons habitent une île du Ponant  près de l’île de la magicienne Circé. Ces filles de la mer traînent une triste réputation de dévoreuses d’homme, attirant leurs victimes par des chants mélodieux ou une apparence séduisante, voire les deux. Ces redoutables séductrices peuvent même être de simples jeunes femmes sans queue de poisson vivant dans la mer.
Créée en 1835, par l’écrivain danois Hans Christian Andersen, la légende moderne de la sirène continue de faire des vagues, elle n’est plus la terrible tentatrice mais devient une héroïne romantique, qui cherche l’amour, telle Ondine qui offre son âme à l’homme qui voudra bien l’épouser. Le dessin animé de Walt Disney, La Petite Sirène, reprend des éléments issus de la culture populaire et du conte d'Andersen.